1914-18 . Poilus morts dans les tranchées combattantes, la première guerre mondiale bien longue et massacrante où se défendait l’honneur de la Patrie, se commémore aujourd’hui dans la gloire d’un centenaire historique.
Elle se gerbe aux pieds de nos monuments aux morts, tandis qu’en nos mémoires demeure cette sentence d’Anatole France : « Ils croyaient mourir pour la patrie, mais c’était pour les industriels ».
Chair à canon et gueules cassées, bilan de l’hécatombe : dix millions de morts au champ d’horreur.
Comme en 14, je me suis retranché dans la casemate, subissant contre ce blog une double offensive judiciaire. Ma liberté d’expression a été contestée par un escroc mythomane échangiste, ci-devant juif sépharade façon Madoff de confetti qui sous couvert d’antisémitisme contre sa personne, demandait rien moins que la fermeture du blog et 50 000 pesetas de dommages et intérêts. Il a été débouté le bougre, mais joue la montre en procédure d’appel.
Madame la Comtesse Ramona Belanus riche héritière de la Semsamar qui conteste ma liberté d’expression, m’offre l’honneur et le grand avantage d’être mis en examen devant la 17° chambre au palais de justice à Paris, où j’ai fait mon Droit à l’Université Panthéon-Sorbonne durant les septantes du XX° sous l’ère Pom Pom Pidou. lorsque la France bascula dans l’ultra libéralisme mondialisé et la crise de l’Opep.
La 17° Chambre correctionnelle est celle de ma liberté professionnelle, en bonne application républicaine de la loi du 29 juillet 1883 sur la liberté de la Presse. J’vais pouvoir affronter un ténor du barreau parisien, celui du cabinet d’ Hervé Temine, né à Alger en 1957 arrivé en 1961 comme la plupart des familles sépharades. J’en ai connu quelques un dans ma jeunesse.
Contre le blogueur-blagueur tropical, la ci-devant Comtesse Ramona Belanus effectivement héritière de la Semsamar a les moyens de s’offrir les grands du barreau pour sauver son honneur en dépaysant l’affaire. De ces procédures pénales je sortirai gagnant la tête haute. Les diffamations évoquées, ne valent pas tripette. Rien que des dénonciations calomnieuses !
Deux autres contrariétés ont gâché l’an 14, d’abord le vol de ma monture rapide et faufilante la nuit du 25 décembre 2013. Finalement retrouvé après enquête, mais inutilisable. Et puis surtout la grosse tâche noire de l’automne, la mort d’un ami, un copain, un frère.
La disparition de ceux qui nous sont chers, (chair) creuse un vide, un manque à aimer. Clin deuil du destin impossible à combler. Nous finissons toujours par descendre les pieds devant.
Olivier Arens est mort le 5 Octobre à 64 ans, d’un cancer foudroyant. Accompagné par sa fille admirable, comme il le désirait il n’a pas longtemps souffert. Cendres dispersées en mer, il frère encore lorsque j’essuie les larmes de notre connivence bien trop tôt perdue .
Le moral n’a pas été au beau fixe du baromètre du temps qui passe. L’année 14 ne fut pas plaisante et je n’ai mis en ligne qu’une petite trentaine d’articles. Ceci explique cela.
Sur le boulevard de mes 65 printemps, l’année 2015 s’engage sous les bons auspices du destin. Je suis sorti hors des tranchées et mon engagement citoyen va connaître de nouveaux développements.
J’ai retenu 9 projets à accomplir dont je vous reparlerai. Je veux faire du neuf.
Concernant ce blog , si mes sponsors en sont d’accord, il va rapidement devenir bilingue avec une version anglaise. Il sera de nouveau actif comme il l’a toujours été depuis février 2006, mais avec un comité de rédaction élargi.
Lecteur(trice) fidèle (vous êtes 3.000) reçoit mes vœux sincères pour 2015,
année de la chèvre avec treize lunes.
Qu’elle te soit profitable, harmonieuse et constructive.